Jean et Albert SEEBERGER (milieu Xxème siècle) - Lot 255

TAPISSERIES, SCULPTURES, TABLEAUX MODERNES ET CONTEMPORAINS Experts Sculptures : Jean-Christian DAVEAU Tél. +33 (0)6 07 89 86 88 Tableaux Modernes : Noé WILLER Tél. +33 (0)1 53 43 80 90 Textile : Aymeric DE VILLELUME Tél. +33 (0)1 56 28 04 12 Dufy : Fanny GUILLON-LAFFAILLE Tél. +33 (0)1 45 63 52 00 Expositions publiques : à Drouot, salle 10 Mardi 6 décembre 2011 de 11h à 18h. Mercredi 7 décembre de 11h à 12h. Téléphone pendant l’exposition et la vente +33 (0)1 48 00 20 10

La vente sera faite au comptant et conduite en Euros. Les acquéreurs paieront des frais en sus des enchères, par tranches, de 20 % plus TVA, soit 23,920 % TTC jusqu’à 100 000 € et de 13 % plus TVA, soit 15,548 % TTC a partir de 100 001 €. Les lots ne seront délivrés aux adjudicataires qu’après paiement. GARANTIES Les attributions ont été établies compte tenu des connaissances scientifiques et artistiques a la date de la vente. Le commissaire-priseur se réserve la possibilité de rectifier les désignations du catalogue. Ces rectifications seront annoncées au moment de la présentation de l’objet et portées au procès-verbal de la vente. Une exposition préalable permettant aux acquéreurs de se rendre compte de l’état des biens mis en vente, il ne sera admis aucune réclamation une fois l’adjudication prononcée. Les reproductions au catalogue des oeuvres sont aussi fidèles que possible, une différence de coloris ou de tons est néanmoins possible. Les dimensions ne sont données qu’à titre indicatif. Il a été stipulé dans le catalogue lorsque les tapisseries présentent un bolduc et si celui-ci est signé de l’artiste ou des ayants droit. Les tapisseries de Calder portent un bolduc non signé de la manufacture Pinton à Aubusson-Felletin. Après le décès de Calder, la société Pinton a conclu un protocole d’accord avec les seules héritières d’Alexandre Calder, Sandra Davidson et Mary Rower le 26 janvier 1990, aux termes duquel sont énumérés les cinquante oeuvres de Calder ou titres de tapisserie avec les tissages en stock et ceux qui restent à tisser. En l’occurrence, les tapisseries décrites (163 à 171) sont celles consignées dans l’inventaire du stock produit aux héritiers Calder le 26 janvier 1990. ENCHèRES L’ordre du catalogue sera suivi. Le commissaire-priseur pourra diviser ou réunir les lots. En cas de double enchère reconnue effective par le commissaire-priseur, le lot sera remis en vente, tous les amateurs présents pouvant concourir à cette deuxième mise en adjudication. ORDRE D’ACHATS Si vous souhaitez faire une offre d’achat par écrit, vous pouvez utiliser le formulaire prévu à cet effet en fin de catalogue. Celle-ci doit nous parvenir au plus tard 2 jours avant la vente accompagnée de vos coordonnées bancaires. Enchères par téléphone Si vous souhaitez enchérir par téléphone, veuillez en faire la demande par écrit en utilisant le formulaire prévu a cet effet, accompagnée de vos coordonnées bancaires, au plus tard 2 jours avant la vente. En aucun cas le Commissaire - Priseur ne pourra être tenu pour responsable au cas où vous ne pourriez pas être joint par téléphone au moment de la vente. RETRAIT DES ACHATS Il est conseillé aux adjudicataires de procéder a un enlèvement de leurs lots dans les meilleurs délais afin d’éviter les frais de magasinage qui sont à leur charge. Le magasinage n’entraine pas la responsabilité du Commissaire - Priseur ni de l’expert a quelque titre que ce soit. Les lots qui n’auront pas été enlevés dans la salle le jour de la vente pourront être stockes aux frais de l’acquéreur. En cas de paiement par chèque ou par virement, la délivrance des objets pourra être différée jusqu’à l’encaissement. Dès l’adjudication, l’objet sera sous l’entière responsabilité de l’adjudicataire. L’acquéreur sera lui-même charge de faire assurer ses acquisitions, et le Commissaire - Priseur décline toute responsabilité quant aux dommages que l’objet pourrait encourir, et ceci des l’adjudication prononcée. Pour les lots vendus sans certificat d’exportation, sa demande est à la charge de l’acquéreur. La non-obtention du certificat d’exportation ne constitue pas une cause d’annulation de la vente.